Le classement mondial des écoles de commerce obéit à des critères précis. Tout étudiant ou embaucheur a besoin de les connaître pour des décisions éclairées.
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ToggleMéthodologie et critères du classement mondial des écoles de commerce
La réputation des écoles de formation forgée par une notation mondiale crédibilise la qualité des enseignements dispensés. Cela constitue un guide qui oriente les étudiants quant au choix de leurs établissements. Cette page dévoile la méthodologie et les critères qui servent de base pour le classement mondial des écoles de commerce.
Classement mondial des écoles de commerce : les auteurs et leurs sources
Il s’agit essentiellement de pigistes dont le domaine d’expertise est l’enseignement supérieur. Les journalistes spécialisés font également partie du lot. Ces acteurs du classement mondial des écoles de commerce collaborent avec des médias de renom :
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- Le Figaro ;
- L’Étudiant ;
- Le Financial Times ;
- Le Parisien…
Challenges et Le Point participent aussi à cette évaluation si cruciale aussi bien pour les apprenants que pour les recruteurs.
Mais quelle est la méthode de collecte des informations ? Ces médias se fient à de nombreuses sources crédibles. Parmi celles-ci, les données fournies au ministère ainsi qu’aux institutions publiques.
Des questionnaires sont également mis à profit pour interroger les écoles. Les anciens élèves des différents établissements contribuent aussi à éclairer les journalistes. Ceux-ci consultent, par ailleurs, des plateformes d’accréditations internationales.
Les méthodologies des principaux acteurs du classement mondial
Voyons à présent comment opèrent les groupes les plus influents du classement mondial des écoles de commerce.
Le procédé du Financial Times
Le classement du Financial Times accorde une grande importance à la qualité de l’enseignement. Pour preuve, ce paramètre constitue 40 % de la pondération et tient compte :
- de la diversité du collège des enseignants ;
- de l’envergure du volet recherche ;
- du pourcentage de professeurs titulaires d’un doctorat ;
- du nombre d’apprenants affectés à chaque professeur…
Le taux de diplômés trouvant rapidement un emploi est un élément crucial de ce classement.
La méthode du classement QS
Le classement Quacquarelli Symonds (QS) des écoles de commerce du monde fonctionne avec des critères précis. Il cherche à identifier les partenariats que les établissements tissent avec des entreprises dans le dessein de favoriser les stages et de faciliter l’insertion professionnelle.
La qualification des professeurs et leur goût pour la pédagogie entrent aussi en ligne de compte. D’autres éléments comme l’employabilité des diplômés et l’acceptation d’étudiants internationaux obtiennent de fortes notes.
L’évaluation faite par le classement QS s’appuie sur des enquêtes impliquant des réseaux d’anciens apprenants et sur des informations données par les écoles concernées.
Les paramètres pris en compte par le classement de L’Étudiant
Ils sont au nombre de quatre :
- la réputation et les attraits de l’établissement (20 % de la pondération) ;
- le succès de l’insertion professionnelle des diplômés (30 % de la pondération) ;
- la portée et la présence internationales de l’école (20 % de la pondération) ;
- les certifications et les différentes accréditations, aussi bien nationales qu’internationales.
Il faut noter que ces paramètres se composent de sous-critères pointus qui font de cette évaluation une des plus pertinentes.
La méthodologie adoptée par le classement SIGEM
Par SIGEM, on entend : Système d’Intégration aux Grandes Écoles de Management. Ce classement prend en considération et étudie les choix des futurs apprenants ainsi que leurs réussites ou non aux différents concours. Ceux-ci concernent l’admission dans les meilleurs établissements qui enseignent le management et le commerce en Hexagone.
Pour chaque école, la notation comptabilise le nombre de candidats ayant opté pour elle comme premier choix.
Les principaux critères du classement mondial d’une école de commerce en Europe
L’excellence académique vient en tête et implique :
- la reconnaissance : labels, accréditations internationales, visa ;
- des programmes d’étude consistants et variés ;
- l’ancienneté de l’établissement ;
La dimension internationale s’impose comme un élément incontournable des notations. Ainsi, une école de commerce qui figure au classement mondial fait forcément la part belle aux doubles diplômes et aux partenariats étrangers.
Son hospitalité vis-à-vis des étudiants internationaux est aussi appréciée. Bien évidemment, l’employabilité tient une place majeure dans l’évaluation des écoles.